lundi 3 mai 2010

L'écrivain mexicain Carlos Fuentes pour un "protectorat" onusien en Haïti / radio iskeya

L'écrivain mexicain Carlos Fuentes pour un "protectorat" onusien en Haïti

Sans nuancer ses propos, ni prendre la mesure des aspirations profondes du peuple haïtien, l'immense auteur latinoaméricain soutient que les efforts internationaux de reconstruction du pays sont voués à l'échec si les "élites locales corrompues" ne sont pas mises à l'écart

dimanche 2 mai 2010,

Radio Kiskeya

Le célèbre écrivain mexicain Carlos Fuentes, considéré comme l'un des nobelisables potentiels, a proposé dimanche à Santo Domingo qu'Haïti devienne un "protectorat" dont la direction serait confiée aux Nations Unies afin, dit-il, d'éviter que ses "élites corrompues" fassent perdre au pays l'occasion de se relever des effets dévastateurs du séisme grâce aux efforts de la communauté internationale.

"Pour pouvoir reconstruire Haïti, il est nécessaire que les Nations Unies s'associent à la communauté internationale pour créer un protectorat capable de gouverner ce pays. Sinon, dans le cas contraire, les efforts déployés seraient vains", a estimé un tantinet condescendant M. Fuentes lors d'une conférence de presse relayée par EFE.

A son avis, la "corruption traditionnelle" sévisant en Haïti constitue un obstacle majeur à la réalisation des objectifs de relance et de développement du pays.

"Le problème est qu'en Haïti il existe une élite corrompue qui ne permettra pas que ce pays puisse progresser", a martelé l'illustre auteur latinoaméricain avant de conclure "la restauration ne sera possible que de cette façon avec un protectorat assumant la direction et le contrôle de ce qui doit être fait en vue d'aider cette nation".

A mots couverts ou sans détours diplomatiques, plusieurs voix étrangères ont, ces derniers temps, sollicité la "mise sous tutelle d'Haïti", une formule rejetée par de nombreux compatriotes qui, parallèlement, critiquent sévèrement l'attitude jugée rétrograde des élites du pays.

Invité spécial de la foire internationale du livre de Santo Domingo, Carlos Fuentes s'est aussi exprimé devant les journalistes sur différents thèmes d'actualité relatifs à son pays, le Mexique, et à la marche du monde. Tour à tour, il a rejeté la loi de l'Etat américain d'Arizona criminalisant l'immigration illégale et qui vise directement plusieurs millions de sans-papiers mexicains, appelé les autorités mexicaines à faire appel aux forces spéciales françaises et israéliennes pour combattre les narcotrafiquants avant de dénoncer une "globalisation partiale et injuste".

Fuentes, qui affirme ne pas penser au Prix Nobel de littérature, est devenu docteur honoris causa d'une université dominicaine et sera décoré par le Président Leonel Fernàndez lors d'une cérémonie prévue lundi au Palais présidentiel.

Romancier, dramaturge et essayiste de renommée mondiale, Carlos Fuentes, 82 ans, compte parmi ses principales publications La volonté et la chance et Une limpide région. spp/Radio Kiskeya


La République dominicaine accordera une couverture légale


Santiago. - La République dominicaine où résident plus d'un million d'haitiens illégaux, dotera d'une couverture provisoire à tous les étrangers qui vivent de manière irrégulière dans le pays. Ces derniers auront trois années pour mettre de l'ordre dans leur situation. C'est ce qu' a informé aujourd'hui un juge de l'Assemblée Centrale Électorale (JCE).

Robert Rosario, président de la Chambre Administrative du tribunal électoral, a expliqué que ces étrangers durant trois années devront régulariser leur statut migrateur, en optant pour une résidence, pour la citoyenneté dominicaine ou par un document officiel leur permettant d'entrer et de sortir du territoire national.

Il a rappelé que pour que les enfants de ces etrangers aient une piece d'identité, le registre des étrangers a été approuvé dans la nouvelle Constitution locale, mise en vigueur en Janvier dernier.
Le fonctionnaire a déclaré que cette provision légale livrée aux immigrants ne changera pas pour autant leur condition. Mais ils pourront en servir dans leurs transactions avec les organismes de l'Etat. Cette provision légale fera beaucoup de biens aux immigrants irréguliers, principalement les haitiens.

Rosario a dit pendant l'inauguration d'un bâtiment qui logera les bureaux de la JCE dans la localité de Sabana Iglesia , dans la province de Santiago (Nord), que la mesure cherche a résoudre le problème migrateur qui a un grand impact sur le registre civil local.
"Avec cette provision, nous allons avoir la capacité de collecter des informations sur des citoyens nationaux et étrangers qui se trouvent dans notre pays et, en outre, nous leur donnerons l'occasion d'avoir un document qui permet d'accéder à tous les services et les facilités qu'offre l'Etat dominicain ", a signalé Rosario.
Par ailleurs, le fonctionnaire a informé que, dans des provinces comme Santiago et autres villes frontalières, 22 à 30 pour cent des accouchements dans les hôpitaux sont des haitiens qui traversent la frontière parce que leur pays ne dispose pas des installations hospitalières pour cela.

"Le nouveau-né recoit un acte de naissance d'étranger. La mère retourne dans son pays avec cette pièce d'identité qui n'affecte pas ni la nationalité de la mère ni celle de l'enfant qui est reconnu comme haitien ", a précisé le juge dominicain.

REVELATIONS AUTOUR DE LA PRETENDUE RECONSTRUCTION D’HAITI.


Omega Staff Writers

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202-239-6567

Il est urgent de dénoncer les manœuvres déloyales autour de la Reconstruction d'Haïti et de révéler ce qui se trame avec la complicité de ces comédiens qui se disent être un gouvernement en Haïti, ainsi que les acteurs internationaux venus piller ce pays sinistré et sous les décombres. René Préval essaie de jouer deux cartes : celle de la prolongation de sa Présidence (de 18 mois à 4 ans supplémentaires) pour continuer ses brassages de million ou la négociation immédiate de son départ et exil (aux Etats Unis où il possède un mini château à Coral Gables en Floride), en laissant derrière lui toute une équipe chargée de gérer ses affaires en Haïti, une sorte de conseil national de pillards (CNP). A la tête de ce conseil Préval souhaiterait que la communauté internationale accepte son homme de paille, Jean Max Bellevague (pardon, Bellerive) qui a déjà pris toutes les dispositions pour rester pendant les 18 mois a la tête de la Commission Intérimaire de Reconstruction d'Haïti , tout en s'organisant financièrement au cas ou les choses se gâtent, pour aller vivre en République Dominicaine et jouir de ses millions, avec sa femme dominicaine.

Dans cette perspective, les deux larrons ont fait pression sur le Parlement haïtien pour ratifier la loi d'urgence de 18 mois permettant à la fameuse Commission Intérimaire de Reconstruction d'Haïti d'avoir les mains libres pour un ensemble de réformes donnant des avantages personnels à Préval et à Bellerive, tout en trompant la vigilance de Bill Clinton qui s'est laissé avoir comme un bleu. Les grandes agences financières internationales comprenant le jeu ont décidé de leur côté d'en profiter et de mettre le pays sous coupe réglée. Préval et Bellerive ont accepté de donner des pouvoirs illimités à cette Commission pour qu'elle échappe à tout contrôle, et d'accorder la majorité des votes aux étrangers pour ne pas être pris à défaut au niveau national. Ce qui est contraire a la Constitution d'Haïti et aux normes du pouvoir républicain, mais favorable aux visées égoïstes et étroites de Préval et de Bellerive.

LES ETATS UNIS NE SONT PAS DANS CE MAUVAIS COUP

Les Etats Unis d'Obama ont été surpris de constater autant de manœuvres et de mauvais coup. Les américains ne voient pas la nécessité, voire l'urgence de cette loi, et ne l'ont jamais suggérée. Il s'agit là d'une initiative de Préval et de Bellerive, réalisée sans aucune consultation avec l'administration américaine. Bien qu'elle ait été amalgamée au même projet de loi présenté au Parlement, et qui assure la prolongation de la loi sur l'état d'urgence, la formation de la Commission Intérimaire de Reconstruction d'Haïti n'a jamais été une exigence des Etats Unis, qui n'ont rien à voir avec cette demande de prolongation. Jamais, et à aucun moment, l'administration américaine n'a fait pression sur l'assemblée parlementaire haïtienne ou lui a suggérée qu'aucune aide financière ne serait donnée si la loi n'était pas votée. Parce que les Etats-Unis sont déterminés à aider Haïti dans ces pénibles circonstances, autant pour des raisons historiques que pour ses intérêts immédiats, les américains auraient trouvé d'autres voies et moyens pour assister Haïti, même si cette loi n'avait pas été adoptée par le parlement.

Dans cette loi abominable, le Président d'Haïti s'est fait accorder un droit de veto sur toutes les décisions qui seront prises dans les prochains 18 mois. Le Premier Ministre haïtien qui dirigera cette commission avec Bill Clinton (qui n'a rien compris au jeu et s'est laissé piéger) n'aura pas à répondre a une convocation quelconque du pouvoir parlementaire ou de la justice, à l'avenir. Il pourra continuer à vendre le pays sans être dérangé. Bellerive a déjà commencé avec la Teleco qu'il a carrément donné à une compagnie vietnamienne (Viettel) appartenant aux forces armées du Vietnam (60% pour l'armée vietnamienne et 40% pour Haïti) violant les règles de passation du marché qui exigent en Haiti la moitié plus un à l'Etat haïtien (51%).

Quant au droit de véto accordé au président Préval, il semble plus être un geste politique symbolique qu'une réelle possibilité de blocage. Il semble évident qu'aucune personnalité politique haïtienne ne serait en mesure d'appliquer son véto dans le contexte de dépendance totale dans lequel Préval a livré son pays, en vue de régler des petites affaires personnelles avec son petit coquin de Premier Ministre, son co-conspirateur. Tout au plus, ce droit de véto pourrait leur permettre d'exercer (avec prudence) quelques pressions en vue d'obtenir des concessions mineures pour les engagements concernés.

UN MANDAT DE 18 MOIS A QUATRE ANS

Si tous les objectifs de la Commission qui est censée dépenser 5 milliards de dollars ne sont pas atteints après les 18 mois, il est déjà prévu de transformer la Commission en une institution qui sera nommée « Autorité Internationale de Reconstruction » avec un nouveau mandat de 4 ans supplémentaires et une nouvelle enveloppe de 9 milliards.

La Banque Mondiale qui va jouer le rôle d'Agent fiscal ou de comptable de la Commission annonce qu'elle donnera, de ses propres fonds, près de 500 millions de dollars pour « le projet Haïti » pendant ces 18 mois ou, pour être plus précis, 479 millions. Mais on sait déjà que seulement 250 millions de dollars seront débloqués. La plupart des fonds étaient déjà programmés et dépensés bien avant le tremblement de terre. Sur ces $479 millions de dollars il ne restera que 250 millions. Pourquoi faire ? Si on croit une note de la Banque Mondiale, pendant les 18 mois on va « utiliser » ces 250 millions de la manière suivante : La Banque Mondiale gardera 151 millions pour le Trust Fund, 60 millions iront au secteur privé international, en termes d'investissements du guichet du secteur privé de la Banque, la Société financière internationale (IFC) en vue des privatisations des entreprises d'Etat d'Haïti, et 39 millions seront maintenus dans la catégorie « annulation de la dette d'Haïti ». De ces 250 millions finalement, il ne restera rien pour Haïti. Rien que du vent. Quatorze pays donateurs – Allemagne, Belgique, Canada, Espagne, États-Unis, Finlande, France, Irlande, Italie, Japon, Norvège, Pays-Bas, Suède et Suisse – se sont engagés à fournir à la Banque Mondiale ce montant supplémentaire de 39 millions de dollars qu'elle réclame avant qu'elle puisse accepter d'annuler le reliquat des créances de la Banque sur Haïti.

RECONSTRUCTION ET PILLAGE DE CE QUI RESTE D'HAITI

La Commission au nom de la reconstruction va faire main basse sur les terres de l'Etat. Elle dispose de toute la latitude pour financer des acquisitions foncières en Haïti, afin de lancer des opérations d'urbanisme et de logement à travers le pays. Les compagnies étrangères auront la possibilité d'investir dans la plupart des secteurs d'activités, dont l'agriculture et le tourisme, qui paraissent les plus porteurs. La CIRH travaillera conjointement avec le Fonds Fiduciaire dont la Banque Mondiale a été désigné comme agent fiscal. Une entente est intervenue entre la Banque Mondiale, les Nations Unies et la BID sur le partage des rôles et responsabilité s. Il reste à harmoniser les mandats respectifs des deux entités « (Fonds Fiduciaire et CIRH)».

L'action du Groupe de la Banque mondiale porte essentiellement sur la « reconstruction », plutôt que sur le secours humanitaire à la suite de la catastrophe. Le guichet du secteur privé du Groupe de la Banque, la Société financière internationale (IFC), compte investir environ 150 à 200 millions de dollars via des compagnies internationales, après les 18 mois et au cours des cinq prochaines années, dans les secteurs prioritaires aux fins de promouvoir la croissance, notamment dans le secteur financier, les infrastructures, la logistique, les industries de transformation et les services.

Néanmoins, quelques initiatives vont être adoptées pour montrer quand même des efforts d'aide. Au début de ce mois, le Conseil des Administrateurs de la Banque mondiale a approuvé un don de l'IDA de 65 millions de dollars, préparé selon les procédures d'urgence accélérées, pour financer la reconstruction des infrastructures de transport et contribuer à rétablir les fonctions de base de l'État. Pendant ce temps, le Conseil d'administration de l'IFC a autorisé un programme de 35 millions de dollars d'investissements d'urgence dans six entreprises étrangères établies en Haïti pour les aider à reprendre leurs activités, reconstruire les infrastructures, rétablir les approvisionnements et les services cruciaux, et pour appuyer l'accès au crédit des micro-entreprises, et des petites et moyennes entreprises. Les 65 millions de dollars représentent la première tranche de l'aide d'urgence de 100 millions de dollars de la Banque, annoncée immédiatement après le tremblement de terre.

Une faible opposition politique en Haïti proteste, et la société civile dénonce ces manœuvres autour de la Commission Intérimaire de Reconstruction. Le président haïtien René Préval et son complice Jean Max Bellerive, qui devraient être poursuivis pour « Association de malfaiteurs », ont fait comprendre que le déblocage de l'aide internationale promise à la conférence du 31 mars a New York , soient les 5,3 milliards de dollars sur 18 mois prévus par les bailleurs de fonds, et les 9,9 milliards sur trois ans, n'aurait pas lieu si Haïti ne se soumettait pas à cette condition de mise en opérationnalisation de la CIRH. Les Etats Unis ont démenti cette semaine cet argument criminel. Pour faire leur beurre, ces deux individus qui se disent être les dirigeants d'Haïti, se préparent déjà à vendre et « privatiser » via des compagnies internationales, tous les ports et aéroports du pays, « dans le cadre de la reconstruction» .

Mr. Préval a déjà fait comprendre que la population pour sa part ne verra aucun changement pendant des années, et qu'il faudra faire preuve de patience. En attendant, il commence à sélectionner des gens qui pourraient aller habiter sur une propriété de 7.400 hectares située à 20 km au nord de la capitale, ou certains travaux d'aménagement seront réalises en vue d'accueillir de nouvelles tentes pendant les prochains 18 mois, et bien au-delà.

Préval a annoncé aussi la création, pendant ces 18 mois, d'une banque de logement pour offrir des lignes de crédit aux personnes qualifiées et capables de travailler (la plupart des chômeurs) dont les propriétés immobilières ont été détruites par le tremblement de terre. Le reste de la population n'est pas dans l'agenda.

LES CHEFS DE LA RECONSTRUCTION

Dans un pays où le traumatisme reste profond et la population fragilisée, avec près de 300,000 morts, 300.000 blessés et plus de 1,2 million de sinistrés, le fameux plan de reconstruction administré par la «Commission Intérimaire pour la reconstruction d'Haïti» (CIRH), sera dirigé par 21 grands chefs ayant droit de vote, et dont les « les blancs » seront majoritaires et les haïtiens seront minoritaire. Cette Commission sera présidée par Bill Clinton assisté de ce filou de premier ministre haïtien, Jean-Max Bellerive. La communauté internationale aurait 12 représentants et Haïti en aurait 9. réval et Bellerive ont préparé une liste de 9 délégués à nommer :

1- du pouvoir exécutif

1 du corps judiciaire

1 des autorités locales

1 de la Chambre des députés

1 du Sénat

1 du corps syndical

1 du patronat

1 de la société civile (les ONG)

1 de la diaspora haïtienne.

Préval et Bellerive souhaiteraient voir également 12 représentants pour la communauté internationale :

1 pour les Etats Unis

1 pour la France

1 pour l'Union Européenne

1 le Canada

1 Brésil

1 Bid

1 Venezuela

1 ONU

1 Banque Nationale

1 du CARICOM

1 l'OEA

1 représentant pour tous les autres donateurs ne siégeant pas



DES DIZAINES DE MILLIONS POUR LA BANDE A PREVAL ?

Préval et Bellerive ont suggéré cette clause aux Nations Unies : pour siéger, les pays ou institutions donateurs doivent avoir fait des dons d'au moins 100 millions de dollars sur une période de 2 ans ou effacé des dettes pour au moins 200 millions de dollars. Men bagay la ! La valse des millions, qui seront vite confisqués par la bande à Préval, Mr. René Préval, Président d'Haïti et Chef Suprême des gangs d'assassins, Mr. Leslie Voltaire, ancien militant au service de Mr. Allende au Chili, Mr. Fritz Longchamp, Mr, Patrick Elie, Mr Robert Manuel, Mr Pierre Denize, et Mr Alix Fils-Aime, pour ne citer que ceux-là, toujours supportés par le même petit groupe de voleurs, connus sous le nom de Groupe de Bourdon, et qui contrôlent plus de 90% des ressources économiques d'Haïti : Elizabeth Delatour (Vorbes) (Celestin) Préval,, la nouvelle épouse du Président Préval, et veuve de Leslie Delatour, un économiste notable, Lionel Delatour, beau-frère de la Première Dame et responsable du Centre Pour la Libre Entreprise et la Démocratie (CLED), organisme au nom ronflant qui prétend promouvoir la libre entreprise, et qui cache bien les vraies activités occultes de ses promoteurs, qui consistent à promouvoir les intérêts de bandits internationaux comme Ahmadinejad en Iran, avec lequel ils ont encouragé Mr. Préval à établir des relations diplomatiques, Patrick Delatour, ancien beau frère également de la Première Dame d'Haïti, et Secrétaire d'Etat du Tourisme, et qui est aussi copropriétaire d'une entreprise de construction qui fait des affaires avec le gouvernement dont il est un membre, et les Leslie Voltaire, Braun, Baussan, Mevs, Vorbes, Bonnefield, Boulos, ces corrompus dont les actions funestes rongent la société haïtienne depuis des décades, sans oublier les nouveaux membres de la mafia présidentielle, comme Jude célestin, ancien amant de la Première Dame et ami profondément intime de René Préval, ou Mr. Jean Max Bellerive, qui a manœuvré avec beaucoup de dextérité politique pour s'établir Premier Ministre, affirmant ainsi ses droits privilégiés au pillage sans vergogne du pays dont il feint d'être un des dirigeants.

A ces noms qui sont les symboles de la corruption et de la violence en Haiti, on doit ajouter ces tueurs à gages qui assassinent sur demande, et sans pitié : Amaral Duclona, actuellement incarcéré en France pour le meurtre d'un diplomate français, Samba Boukman, le boucher du Bel Air, un meurtrier de plusieurs enfants décapités et jetés sur les tas de détritus dans l'aire de Port- au-Prince avant le tremblement du 12 janvier, et qui actuellement membre de la Commission Presidentielle pour le Désarment, la Démobilisation et la Réinsertion. Le Président, sa mafia économique et les assassins à leur solde sont partout, dans chaque zone et dans toutes les zones, prêts à kidnapper et à tuer au moment opportun, comme Amaral Duclona a avoué avoir kidnappé et assassiné Mr. Robert Marcello, un fonctionnaire public qui avait refusé d'accorder sans appel d'offre un contrat de US $97 millions à Mr Jude Célestin, l'ami profondément intime du Président Préval et ancien amant d'Elizabeth Delatour Préval, nouvelle Première Dame d'Haïti.

RECONSTRUCTION OU DEMOLITION ?

Finalement, il ne s'agira pas de la reconstruction d'Haïti mais de la démolition du pays. Lors de la réunion préparatoire à Saint-Domingue, le 15 mars dernier, la somme de 3,8 milliards de dollars avait été mentionnée pour les dix-huit mois d'actions de la commission intérimaire de reconstruction. Le Vice Président américain avait même parlé de 35 milliards. Le Ministre du Plan Jean Max Bellerive, également Premier Ministre, avait expliqué que 5 milliards suffiraient pendant les 18 mois. Bill Clinton, venu avec George W. Bush à Port-au-Prince le 22 mars dernier, avait toutefois prévenu des chefs d'entreprise haïtiens avec lesquels ils se réunissaient à huis clos : «Vous savez que 50 % de l'argent ne sortira pas et restera a l'étranger pour aider le secteur privé international à agir au niveau de la reconstruction de votre pays.» L'ancien président américain voulait ainsi rappeler que l'aide financière ­allouée servira pour une bonne part à payer le travail des entreprises internationales et du personnel des pays qui vont s'investir dans les plans de « reconstruction d'Haiti. » Pris au piege par ses « amis » haïtiens, cependant, Bill aurait intérêt à se montrer plus prudent, et à agir pour faire rétracter la loi d'urgence de 18 mois, une législation anti- démocratique à laquelle on veut associer les USA, qui apparaissent sous un mauvais jour, et à rééquilibrer les choses au nom de la justice sociale qu'il a toujours defendu. Avec cette loi d'urgence (qui est une loi martiale violant toutes les règles démocratiques d'un Etat républicain). il vient de commettre un faux pas. Les foules qui manifestent désormais contre cette loi et qui disent « A bas Préval, à bas Clinton, à bas les USA ! » ne voient pas les Etats Unis d'un bon œil. Bill Clinton doit forcer Préval à se soumettre à une analyse de cette loi par le pouvoir judiciaire qui la déclarera hors la loi. Ceci n'empêchera pas les Etats Unis de faire ce qui est nécessaire pour rebâtir ce pays, sans avoir besoin de le piller davantage.

Il est aussi urgent de trouver une alternative plus juste pour les démunis d'Haiti, qui vivent dans des conditions odieuses sous des tentes déchirées et dans la boue. Il est temps de financer rapidement des projets de chalets et de maisons préfabriquées pour aider les plus pauvres à sortir de leur détresse en prenant en considération les besoins des secteurs oubliés de la population… et qui ne rentrent dans aucun plan de « reconstruction ». Il est temps que Préval et Bellerive fassent leurs valises. Le Venezuela est prêt a acceuillir le premier, quant au second il peut partir vivre tranquillement avec son épouse dominicaine à Santo Dominguo qui reconnaît le droit d'asile et qui, sous gouvernement de l'honorable Président Fernandez, respecte le droit sacré de chacun d'avoir une nouvelle Patrie

Omega Staff Writers

Letter to Chairman of Haiti Fund

COPY

May 3, 2010

Michael McCooey
Chairman
Haiti Fund, Inc.
Fairfield, Connecticut

Dear Michael,

By this letter, I am once again requesting information about what is being done to assist the boys who were sexually abused at Project Pierre Toussaint?

Are provisions being made for the boys to receive psychological treatment for trauma?

When will the drop-in center reopen?

When will the "village" school reopen?

How much money has been recently donated to the Haiti Fund from the Order of Malta, Fairfield University and the Jesuits of New England?

What are the names of your board members?

Where can people send donations?

Your group's lack of transparency is painful and unacceptable for those who care about the safety and well being of the boys who were abused.

Please issue a public statement.

Sincerely,
Paul Kendrick

World Press Freedom Day

Dear Friend of CPJ:

There is no greater calling here at CPJ than fighting for justice when our colleagues are killed. Last year was the bloodiest for the media ever recorded by CPJ, with 71 journalists killed for their work.

Who were these journalists, and what was their vital work? Who killed them, and why? These are the questions that we ask day after day. It is not easy pursuing answers in countries like Iraq, the Philippines, Russia, and Mexico-countries with the world's worst law enforcement records when it comes to deadly violence against the press.

But we will not forget our colleagues who risked their lives to bring us the news. This year, to mark World Press Freedom Day-today, May 3-we released a special report identifying 10 cases that must be prosecuted to reverse the culture of impunity. Ten murders. Not a single conviction.

Yet CPJ research shows that each of these 10 crimes can be solved. In many of the cases, specific suspects have been identified; in others, evidence points clearly to potential culprits. What we need now is the political will to act.

With your help, we will continue to fight for justice for our colleagues.

For Anna Politkovskaya, a renowned Russian investigative journalist targeted for her unsparing reports about the brutal separatist conflict in Chechnya.

For Armando Rodríguez, a Mexican crime reporter who was gunned down while sitting in his car in the driveway of his home, as his 8-year-old daughter watched in horror from the back seat.

For the 32 journalists and media support staff killed in an election-related massacre in Maguindanao, the Philippines.

CPJ research shows that nearly 90 percent of journalist murders worldwide go unpunished. This is a daunting record, but it is reversible.

Last month, CPJ organized a global Impunity Summit at Columbia University's Graduate School of Journalism. Participants included journalists and press freedom advocates from Colombia, Mexico, Russia, Pakistan, and the Philippines-many of whom had seen close colleagues killed in the line of duty. The most gratifying moment of the conference for me came when a group of these journalists, from some of the most dangerous countries in the world, were asked whether they were optimistic that justice would be done. All said they were.

I'm optimistic too, that with your support we can continue our fight. In fact, international and domestic pressure has led to recent convictions of journalists' killers in Brazil, Colombia, and the Philippines. For example, in January, a Philippine court sentenced a man to life in prison for the murder of journalist Edgar Amoro, a key witness in the 2002 killing of fellow Pagadian City broadcaster Edgar Damalerio. And last year, a suspect was convicted in the 2006 murder of radio commentator Armando Pace.

Together we can honor our slain colleagues in a meaningful way-by telling their stories, by pursuing vigorous investigations into their murders, and by securing effective prosecutions.

Your generosity makes this important work possible.

All best,

Joel Simon

P.S. In honor of World Press Freedom Day, your tax-deductible gift will be matched dollar for dollar by CPJ Board Chairman Paul Steiger.

dimanche 2 mai 2010

Fanmi Lavalas egzije dwa poul manifeste. Ala tray!!! Lavi !!!

samedi 1 mai 2010

ZAK MASPINAY GOUVÈNMAN PREVAL/BELLERIVE LA DWE FINI. MALÈ AVÈTI PA TIYE KOKOBE

Nou menm militan Fanmi Lavalas nou pwoteste ak tout fòs nou kont zak britalite ke patizan pouvwa an plas la fè pou kraze yon manifestasyon ke baz Fanmi lavalas yo tap òganize nan Okap jounen samdi premye me 2010 la .

Manifestasyon an te gen legalman otorizasyon Lapolis pou li te fèt, malgre tou depi nan lavèy anpil kraponnay tap fèt, anpil presyon tap bay, anpil lajan tap simaye tankou fèy lespwa, apèn manifestasyon pral demare brasa wouj yo voye boutèy, wòch plis gwo menas zam. Devan vag vyolans sa yo, manifestan yo te oblije mete yo alabri. Men sa nou konprann nan zak briganday sa.

1-Majò jon pouvwa an plas la gen kè sote paske yo tande Lavalas ta pral pran lari, yo pa vle Fanmi Lavalas denonse enjistis, koripsyon, lavi chè, gaspiyay nan kès leta kap kraze peyi ya. Epi si lwa dijans lan ak tout jesyon gouvènman Preval la se yon katastwòf, zak sa a, se replik yo ki kòmanse

2-Se yon fason pou yo kontinye bloke Fanmi Lavalas pou li pa revandike dwa li, pou li pa denonse ekzil reprezantan nasyonal la, epi mande retou li nan peyi ya. Manifestasyon an ta pral montre mekontantman popilasyon an kont pratik pouvwa an plas la ki pa deside fè anyen pou amelyore kondisyon lavi popilasyon an, olye de desantralizasyon se santralizasyon ak monopol ki pi rèd, ki mete komèsan nan pwovens yo ajenou devan komèsan kapital yo. Politik gouvènman an nan Ladwann, APN, DGI montre klè kote li kanpe. Konsa se pèp la ki mal sele, seli kap foule .

3-Lè patizan pouvwa an plas la aji konsa, pou l kraze manifestasyon Fanmi Lavalas ak gwo zam fann fwa, ak kout boutèy, ak wòch yo di klè ke yo pa nan demokrasi, yo kwè nan vyolans, yo pa respekte ni konstitisyon an, ni deklarasyon dwa moun ni dwa pèp la genyen poul pran la ri pou di sa ki fèl mal.

4-Zak sa a sanble tèt koupe ak sa patizan rejim militè yo te konn fè, konsa yo san lè achte yon kepi mete nan tèt prezidan yo a pou yo sove ti enterè pèsonel yo...

Konsa nou deklare nap kontinye mobilize, nap kontinye manifeste pi rèd pou denonse tout sa kap fè nou mal. Nou pap kite okenn brebi egare simen latroublay nan mitan nou. Konsa Fanmi Lavalas ap sispann sèvi towo bèf pou moulen kann pou ba engra bwè siwo.

Yon Sel nou Fèb, ansanm nou fò, ansanm ansanm nou se Lavalas


Rev Pasteur Hudson Jn Baptiste, Pwofesè Bell Angelot
Louis Marcelin, Gerald Desir Limbe
Monilus Daniel, Derosin Oriol Port Magot
Joseph Brunel, Plaine du Nord
Bien Aime Selichrist, Torius Jn Jacques, Dondon
Brillant withny, Pignon
Osee Fils Aime, Cap Haitien

"Yon sèl nou fèb,ansanm nou fò,ansanm,ansanm nou se Lavalas".
P.O.BOX 2252 Fort Pierce, Florida 34954
info@fanmilavalas.net
www.fanmilavalas.net
312-735-6297

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samedi 1 mai 2010

Cap-Haïtien-Répression : Le régime Préval ne veut plus de manifs anti-gouvernementales.

Cap-Haïtien-Répression : Le régime Préval ne veut plus de manifs anti-gouvernementales.


Par : Cyrus Sibert, souvenirfm@yahoo.fr
Le Ré.Cit.- Réseau Citadelle, Cap-Haïtien, Haïti.
www.reseaucitadelle.blogspot.com


Rémy Sain-Juste, l'organisateur de la manifestation anti-Préval du 25 avril dernier dans la ville du Cap-Haitien n'a pas pu rééditer son exploit comme annoncé. Ce 1er mai 2010, à Rond-point  Samarie où habituellement se réunissent à chaque manifestation les activistes Lavalas, des groupes de jeunes à la solde du pouvoir en place armés de bâtons mettaient la pression. Saint-Juste a dû se réfugier dans une voiture de police pour être évacué de la zone et ne pas se faire massacrer. De façon complice, la police n'a effectué aucune arrestation.


Dans la soirée du samedi 30 Avril 2010, des témoins ont remarqué des scènes de distributions d'argent dans certains quartiers populaires. Des hommes proches du pouvoir auraient distribué des sommes faramineuses dans les quartiers populeux et à des policiers pour éviter la répétition de manifestations anti-Préval dans la deuxième ville du pays, une ville exclue et réputée pour son caractère téméraire et avant-gardiste.


La semaine du 25 Avril au 30 Avril 2010, marque le début d'une opération contre-attaque du pouvoir en place. Le régime de René Préval multiplie dans la ville du Cap-Haitien ses activités pour empêcher la répétition de manifestations anti-gouvernementales.


Le régime risque d'être pris aux pièges et de creuser sa tombe.


Le fait de distribuer de l'argent pour stopper les manifestations anti-gouvernementales créera d'autres manifestations. Les jeunes qui n'ont pas reçu de fonds  organiseront à leur tour des manifestations. Les heureux bénéficiaires des distributions de ce 30 avril 2010, y trouveront un travail très intéressant. Aussi seront-ils à la base de toute prochaine manifestation pour créer l'offre. La multiplication de ces manifs mettra le pouvoir en place dans l'obligation de  trouver des fonds pour maintenir la stabilité. Donc, une tendance à l'inflation ou à l'utilisation de fonds noirs de la drogue.


Quant à l'opposition, elle peut se féliciter d'avoir poussé le gouvernement dans une impasse. Car, les manifs, même quand elles ne réunissent pas de grandes foules, sont nuisibles. L'intensification de ces mouvements à travers tout le pays ne peut que faire du mal au régime en place. Avec un leader impopulaire comme René Préval dans un contexte post-séisme-12 janvier 2010, les conditions risquent d'y être favorables.


Ce samedi 1 Mai 2010, ils étaient deux groupes : manifestants et contre-manifestants. Tous les deux portaient des maillots avec le portrait d'Aristide.  Le groupe de Rémy Saint-Juste réputé pour être un lavalassien, leader du mouvement UV22 (Union des Victimes du 22 février 2004 – date à laquelle les militaires démobilisés avaient pris d'assaut la ville du Cap-Haitien, entraînant la démission de Jean-Bertrand Aristide) a été qualifié d'assaillants. Des coéquipiers Lavalas accusent Rémy Saint-Juste d'assaillant. Un fait qui traduit le pouvoir de l'argent en Haïti. Nawoon Marcellus, comme tous les autres, changent de camp sans hésiter pour le plaisir du plus offrant. 


C'est dans ce contexte que le RNDDH (Réseau National de Défense des Droits de l'Homme) exige que l'ULCC et l'UCREF – deux institutions d'Etat de lutte contre la corruption et du blanchiment d'argent - enquêtent sur les informations faisant état de fortes sommes versées par le pouvoir en place au sénateurs Roudy Hériveaux - Ouest, Judnel Jean – Nord-est et Céméphise Gilles- Nord, pour permettre le vote de la loi d'urgence.


Pris dans la spirale des pots de vin, les jours du régime en place semblent être hypothéqués. Un drôle de réalité pour un René Préval réputé imperturbable. Un mauvais signe pour les hommes critiques : Le régime haïtien est sur le point de réprimer ses opposants.


RÉSEAU CITADELLE (Ré.Cit.), le 01 Mai 2010, 20 hres 11.


Haiti/politique/La CIRH dans le collimateur de l'opposition/Par Lionel Edouard /lematinhaiti.com
















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May 1, 2010, 14:20

Des obstacles semblent se dresser devant les projets du président René Préval. Le Sénat et la classe politique paraissent ne pas voir du même œil la formation de la Commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti (CIRH).

Si René Garcia Préval se dit satisfait des résultats obtenus à la conférence des donateurs du 31 mars, d'autres secteurs de la vie nationale, notamment la classe politique, se montrent de plus en plus inquiets face à certaines conditions qui accompagnent les promesses des bailleurs. Plusieurs groupements et regroupements politiques (Konba, Ansanm nou fò…) et des organismes de la société civile (Jeunesse pour la république, Conscience communautaire….) ont rendu publique une déclaration pour, ont-ils dit, « dénoncer la politique immorale et illégale du président de la République ».


Au cœur du débat : la création de la Commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti (CIRH) et la modification de la loi sur l'État d'urgence demandée par le président Préval. « Cette demande formulée en date du 28 mars 2010 constitue une violation flagrante de la Constitution », peut-on lire dans le document de ces organisations.


Les signataires estiment que, par cet acte, « le président est en train de livrer le pays aux mains de l'international sans l'accord du peuple haïtien ». Le premier sénateur de l'Artibonite, Youri Latortue, parlera, lui, d'« humiliation » et d'« aliénation » des institutions publiques.


La formation de la Commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti (CIRH), qui doit mener le processus de reconstruction du pays, est la cible de nombreuses critiques. Certains estiment que cette commission répond à une certaine logique, puisque la communauté internationale ne fait aucune confiance aux autorités étatiques trop longtemps impliquées dans des dossiers de corruption. Il faut donc, ont-ils avancé, un organe de contrôle qui empêche que les fonds alloués à la reconstruction du pays ne soient détournés.


D'un autre côté, les signataires du document disent relever toute une série d'irrégularités qui accompagne la demande du chef de l'État. « Le projet de loi, soutiennent-ils, est présenté pour être voté par l'Assemblée nationale alors que cette dernière ne peut, précise-t-il, voter aucune loi. La Constitution est muette sur la question de l'État d'urgence, bien qu'il soit aujourd'hui une réalité qui s'impose à nous.


Cette situation non prévue par la Constitution constitue une restriction aux libertés fondamentales, comme en temps de guerre ».
« Les élections qui sont un exercice démocratique ne peuvent donc avoir lieu en situation d'État d'urgence », estiment par ailleurs les signataires. La raison : le fait que le chef de l'État, à travers cette nouvelle loi, a provision légale d'interdire toute manifestation politique.


Ce qui serait, selon eux, contraire à toute initiative électorale qui est la base même de toute société démocratique. La capacité de priver les citoyens de certaines libertés seraient, ont-ils expliqué, de nature à défavoriser certains partis au profit d'autres. « On ne peut pas être à la fois juge et parti », ont-ils fait remarquer.

Une position commune

Les signataires dudit document en fixant leurs positions entendent également, ont-ils informé, se démarquer de toute malversation politique visant l'accumulation de richesses. Par conséquent, ils préviennent qu'ils rejettent le projet de loi sur l'État d'urgence et déclineront toutes responsabilités dans les éventuelles décisions du chef de l'État sous couvert de cette loi.

L'alternative fixe sa position

« L'État est permanent et la corruption n'est pas une maladie incurable, nous pouvons toujours nous améliorer », a lancé Evans Paul, porte-parole d'Altènativ, expliquant qu'il n'est pas nécessaire qu'il y ait une entité de surveillance mixte comme celle que constitue la CIRH.


L'Altènativ propose de préférence, a-t-il informé, la création de deux commissions : une haïtienne avec la participation de tous les secteurs et l'autre étrangère avec à sa tête principalement les bailleurs de fonds.


« Le vote de la loi sur l'État d'urgence constituerait un suicide pour le Parlement », a lancé Evans Paul, ajoutant que le gouvernement aurait les mains libres durant dix-huit mois pour manœuvrer à sa guise, hors de tout contrôle des organes compétents ».


À rappeler que plusieurs partis de l'opposition, notamment Ayiti An Aksyon (AAA), avaient déjà dénoncé le « côté humiliant » de la CIRH pour les institutions haïtiennes qui n'auraient plus leur raison d'être.


La loi sur l'État d'urgence est, selon le leader de l'Alliance démocratique, incompatible avec le discours du président sur les élections. Celui-ci, a-t-il soutenu, veut « que les élections aient lieu avant la fin de l'année pour que le pays reste sur la voie démocratique, or les partis de l'opposition n'ont confiance ni en René Préval, qui n'a jamais organisé de bonnes élections, ni dans le Conseil électoral provisoire (CEP), qui travaille à la solde du parti au pouvoir ».

Par Lionel Edouard
mardi 13 avril 2010

FLASH-FLASH-FLASH PREVAL NEGOTIATING DEAL WITH WASHINGTON TO STEP DOWN /Haitiantruth.org

http://www.haitian-truth.org/flash-flash-flash-preval-negotiating-deal-with-washington-to-step-down/

April 29, 2010
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http://www.radiojamaica.com/images/stories/rene-preval-01.jpg

President Rene Preval is – at this very moment – involved with a convoluted series of negotiations that he hopes will see him step down from power while retaining the hundreds of millions he has stolen from Haiti's treasury. He is also requesting immunity for his wife Elizabeth Delatour, from prosecution for tax evasion in the United States.

The American agencies have evidence of his involvement in, among other things, Mireille Durocher-Bertin's assassination in 1995, the cocaine traffic during his various terms in office, his torture of an American born American citizen in 1991, his part in the theft of $198,000,000 Petro Caraibe funds, for Goinaives reconstruction in 2008, money from the SOCABANK crime, plus a myriad of other instance on crime including the murder of Monica Pierre in the now infamous Port-de-Paix drug fiasco that involved just about everyone in the Haitian government, including Senator Lambert.

Why anyone would want to let Preval walk away, safely with his money, is beyond belief. Perhaps he has retained a dossier on money paid to Washington notables, past and present.

Washington is also aware of his direct involvement with the murder of Jean Dominique. Dominique's wife was a close friend of Preval, a mistress at one time, and is considered – by Preval – as a future president. Montas was complicit in the cover-up following the assassination of her husband.

Look to see Preval depart within the next 21 days.

Be prepared for another of those complete failures, a Transitional Government with members pressed upon Haiti's prostrate society by Washington.

Collins

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2 Responses to " FLASH-FLASH- FLASH PREVAL NEGOTIATING DEAL WITH WASHINGTON TO STEP DOWN "

  1. Lucien Jean on April 30, 2010 at 12:51 pm

    There should be no impunity otherwise we will never possess law. Preval should be judged for his crimes as any other personnage. No one should be supreme to the laws.

    He was a failed Baker.

    He has been a successful criminal.

    He has been a failure as a President of Prime Minister.

    Let him return to the poverty from which he came with nothing other than what he possessed then.

    His stolen wealth should return to help the people of Haiti.

  2. Lucien Jean on April 30, 2010 at 12:52 pm

    There should be no impunity otherwise we will never possess law. Preval should be judged for his crimes as any other personnage. No one should be supreme to the laws.

    He was a failed Baker.

    He has been a successful criminal…

    He has been a failure as a President of Prime Minister.

    Let him return to the poverty from which he came with nothing other than what he possessed then.

    His stolen wealth should return to help the people of Haiti.

PLAN DE SABOTAGE DE LA BANDE FM PREPARE PAR Dimitri VORBE, Tommy BENNET (alias Ti Tomny) , David CARDOZO etc / Courtoisie de Viaud Stefan [sviaud905@gmail.com]


PLAN DE SABOTAGE DE LA BANDE FM PREPARE PAR Dimitri VORBE, Tommy BENNET (alias Ti Tomny) , David CARDOZO etc / Courtoisie de Viaud Stefan [sviaud905@gmail. com]
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Des commerçants et activistes politiques tres proches du président Préval tels que DIMITRY VORBE, TOMMY BENNET,DAVID CARDOZO et ..... ont préparé un plan pour créer un vaste désordre sur la bande FM dans le but de nuire et de brouiller les stations de radios critiques au plan du Président Préval.

Des puissants transmetteurs FM ont été achetés a BSWUSA, www.bswusa.com ,un grand magasin spécialisé dans la vente d'équipements pour radio et télévision, par DAVID CARDOZO broker du Palais National, ces équipements vont rentrer incessamment sur le territoire et ont été embarque ce week end de FORT LAUDERDALE vers HAITI.

Ces richissimes commerçants et activistes politiques vont dans un premier temps émettre illegallement, sur fortes puissances, sur plusieurs fréquences intermédiaires entre les stations déjà existantes et ensuite brouiller les stations de radios qui ont des émissions nuisibles au plan politique qui va être appliqué dans les prochains 6 ou 18 mois par le gouvernement pour la réalisation d'élections frauduleuses .

Le Conatel, la Douane, l'AMIH, L'ANMH, Le Ministère de l'interieur,le Ministère des TPTC, le Ministère de la Justice, les organismes de Droits Humains, la FCC organe de régulation internationale des fréquences, les Ambassades, Reporters Sans Frontieres,la CPJ, l'AJH,SOS Journalistes sont donc avertis a temps de ce plan macabre concocte par DIMITRI VORBE pour bâillonner la presse et réduire au silence les medias indépendants durant les 18 mois de l'état d'urgence et réaliser leurs forfaits économiques et politiques.

Une liste de mercenaire ont participe a l'élaboration du plan dont le fameux NAHOUM MARCELLUS, un ex journaliste de RADIO METROPOLE, candidat a la députation pour le parti UNITE, un ex journaliste de RADIO TELE GUINEN, candidat lui aussi a la députation de l'UNITE,...... .

Dans les prochains jours, leur plan va etre mis a execution, de nouvelles stations illegales, pirates vont apparaitre sur le cadran et creer des problemes d'interferences entre medias de la capitale.La Republique est avertie

A suivre….

Le Gouverneur de l'État de la Louisiane, Bobby Jindal, et le Major-général Bennett C. Landreneau annoncent que la Garde nationale de la Louisiane soutiendra les efforts en Haïti

Le 30 avril 2010


No. 2010/38


Le Gouverneur de l'État de la Louisiane, Bobby Jindal, et le Major-général Bennett C. Landreneau

annoncent que la Garde nationale de la Louisiane soutiendra les efforts en Haïti


BATON ROUGE – Le Gouverneur de la Louisiane, Bobby Jindal, et le Major-général C. Bennett Landreneau, Adjudant-général de la Garde Nationale de la Louisiane, ont annoncé que la  Garde Nationale de la Louisiane dirigera une mission dénommée Nouveaux Horizons du Commandement Sud des Forces Armées des Etats-Unis (Southern Command).  Cette mission aidera à la réalisation de projets de construction et fournira une assistance humanitaire et médicale aux communautés qui ont été touchées par le tremblement de terre qui a frappé Haïti le 12 janvier dernier.  La mission de la Garde Nationale de la Louisiane devrait débuter en mai et prendre fin en septembre.


Le Gouverneur Jindal a déclaré: «La Garde Nationale de la Louisiane a été l'épine dorsale dans les efforts de relèvement et de réponse aux désastres entrepris par notre Etat après que nous avons été frappés par quatre tempêtes en seulement trois ans. Ces braves hommes et femmes ont l'expérience du travail ardu et de la persévérance qu'il faut pour se relever d'une catastrophe.  Je sais qu'ils vont servir le peuple d'Haïti en l'aidant à se remettre sur pied le plus rapidement possible.  Nous sommes fiers que notre Garde Nationale se soit portée volontaire pour participer à cet important effort.  La Louisiane a reçu beaucoup de soutien venant de tous les coins du pays et de par le monde après le passage des ouragans Katrina et Rita et nous sommes prêts à apporter cette même aide à d'autres parties du monde dans des moments difficiles».

«La Garde Nationale de la Louisiane est très heureuse de diriger la mission Nouveaux Horizons pour Haïti», a déclaré le Major-général Landreneau qui au tout début s'est proposé pour diriger la mission. «Alors que nos soldats de la Garde Nationale sont très fiers de participer aux efforts de soulagement, cette mission est également une excellente opportunité de formation pour tous nos soldats et aviateurs».


Les missions New Horizons permettent au personnel et aux unités militaires qui y participent d'avoir la possibilité d'utiliser leurs capacités et leurs compétences pour aider les communautés et les individus qui ont besoin d'assistance humanitaire, tout en renforçant leurs aptitudes à se déployer à l'étranger dans le cadre d'opérations militaires.


M. Landreneau a ajouté, «C'est une grande opportunité pour la Garde Nationale de la Louisiane à s'engager et aider le peuple haïtien. La Garde Nationale de la Louisiane est idéalement placée pour mener cette mission en raison de l'expérience de sa brigade d'ingénieurs dans les interventions de relèvement et de réponse aux désastres».


Environ 500 soldats, aviateurs et marins participeront à la mission de Nouveaux Horizons. La mission sera basée dans les environs des Gonaïves, en Haïti, à environ 150 kilomètres au Nord de Port-au-Prince.

Les autres Etats qui participeront à la mission Nouveaux Horizons incluent le Missouri, le Nevada, le Montana, le Dakota du Sud, le Dakota du Nord, le Texas, l'Indiana, New York et la Virginie.  Plus précisément, l'Etat du Dakota du Sud fournira le soutien technique; le Montana fournira une aide dans l'aviation; le Texas fournira un support actif au niveau des services de communications et des systèmes d'information; le Nevada apportera son assistance au niveau de la police militaire et de l'aviation; le Dakota du Nord, le Montana et l'Indiana fourniront un soutien de police militaire, et l'Etat de New York assignera le personnel médical de l'Armée de Réserve.


Les Iles Vierges américaines apporteront également leur support en déléguant des équipes qui vont travailler au niveau du système de purification de l'eau et les militaires du Génie maritime qui mettront en place une unité de construction.


Les unités des Forces Aériennes (Air Force), de la Marine et les Réserves de l'Armée de terre dépêcheront des équipes de soins médicaux composés entre 30-40 médecins et des infirmières. La Garde Nationale de la Louisiane se concentrera essentiellement sur des projets d'ingénierie.


«Nous allons concentrer nos efforts à apporter certains services essentiels aux Haïtiens qui ont quitté Port-au-Prince », a déclaré le colonel Michael Borrell, le commandant de l'opération Nouveaux Horizons de la Garde Nationale de la Louisiane.  «Au cours de cette mission, notre groupe de travail s'attellera à construire plusieurs bâtiments scolaires, ce qui permettra aux écoliers haïtiens de laisser les tentes actuellement utilisées pour abriter les salles de classe.  Le groupe de travail dépêchera également des équipes de soins médicaux qui travailleront dans plusieurs communautés où les installations médicales sont inexistantes».


La Garde Nationale de la Louisiane a été la première à effectuer une mission Nouveaux Horizons, qui a débuté en 1984 au Panama. Ils ont depuis conduit des missions similaires au  Belize, au Honduras et au Guatemala.


«Bien que nous ayons effectué ces types de missions au cours des années précédentes en Amérique Centrale », a ajouté Borrel, «Nous sommes vraiment honorés de diriger cette mission de formation.  Pour avoir personnellement constaté la situation désastreuse en Haïti, nos soldats de la Garde Nationale comprennent le rôle important que nous aurons à jouer en assistant la zone au cours des mois à venir».


(Fin de texte)



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  April 30, 2010 

  No. 2010/38  


State of Louisiana Governor Bobby Jindal & Maj. Gen. Landreneau

 Announce Louisiana National Guard to Support Haiti Effort


BATON ROUGE - Today, Louisiana Governor Bobby Jindal and Maj. Gen. Bennett C. Landreneau, adjutant general of the Louisiana National Guard (LANG), announced that the Louisiana National Guard will lead a U.S. Southern Command New Horizons mission to perform construction projects and provide humanitarian and medical assistance to communities impacted by the Jan. 12 earthquake in Haiti.  The LANG's mission is scheduled to start in May and conclude in September.


Governor Jindal said, "The Louisiana National Guard served as the backbone of our state's disaster response and recovery efforts after we were struck by four storms in just three years. These brave men and women know firsthand the type of hard work and perseverance it takes to recover from a disaster and I know that they will serve the people of Haiti well in helping them get back on their feet as quickly as possible.


We are proud to have our National Guard step forward to be a part of this important recovery effort. Louisiana received so much support from across the country and around the world after Hurricanes Katrina and Rita and we stand ready to lend that same assistance to other parts of the world in their time of need."


"The Louisiana National Guard is excited about leading the New Horizons mission to Haiti," said Maj. Gen. Landreneau, who stepped up initially to lead the mission. "While our Guardsmen are very proud to join the relief efforts, this mission is also an excellent training opportunity for all of our Soldiers and Airmen."


New Horizons missions afford participating military units and personnel the opportunity to utilize their capabilities and skills to help communities and individuals with humanitarian needs while enhancing their ability to deploy abroad in support of military operations.


Landreneau added, "This is a great opportunity for the LANG to step up and assist the people of Haiti. The LANG is ideally suited to lead this mission, due to its engineer brigade's experience with disaster response and recovery."


Approximately 500 soldiers, airmen and sailors will be participating in the New Horizons mission. The mission will be based in the vicinity of Gonaives, Haiti, which is approximately 95 miles north of Port au Prince.


Other states assisting in the New Horizons mission include Missouri, Nevada, Montana, South Dakota, North Dakota, Texas, Indiana, New York and Virginia. Specifically, South Dakota will provide engineering support; Montana, will provide aviation support; Texas will provide Active Duty communications and information systems support; Nevada will provide military police and aviation support; North Dakota, Montana and Indiana will provide military police support; and New York will provide Army Reserve medical support.


Support will also come from the U.S. Virgin Islands, which will provide water purification teams and the Navy SeaBees, who will provide a construction unit.


Air Force, Navy and Army Reserve units will provide medical treatment teams consisting of 30-40 doctors and nurses. The bulk of LANG's focus will be on engineering projects.


"We will be focusing our efforts on providing some essential services to Haitians that have evacuated Port au Prince," said Col. Michael Borrel, the LANG's New Horizons task force commander. "During this mission, our task force will construct several school buildings, allowing Haitian students to move out of the tents currently being used for classrooms.


The task force will also send medical treatment teams to several communities where medical facilities are non-existent."


LANG was the first to conduct a New Horizons mission, beginning in 1984 in Panama.  They have since conducted similar missions in Belize, Honduras, and Guatemala.


"Although we have performed these types of missions in previous years in Central America," Borrel added, "we are truly honored to lead this training mission. Having personally seen the dire situation in Haiti, our Guardsmen understand the important role we will have in assisting the area over the months ahead."

 

(End of text)