dimanche 30 mars 2014

Le DROIT DE REPONSE de Stanley Lucas sur Radio Vision 2000. (Texte de Cyrus Sibert)

Le vendredi 28 mars 2104, le Sénateur Jean-Baptiste a utilisé l'antenne de Radio Vision2000 pour assassiner le caractère du citoyen Stanley Lucas, l'accusant de complicité et de participation dans le massacre de Jean-Rabel, organisé en 1987.
Radio Vision2000 qui, à plusieurs reprises, s'est laissée utiliser comme arme de destruction massive au profit de politiciens malintentionnés, a permis au Sénateur Jean-Baptiste Bien-Aimé, de détruire l'image de Stanley Lucas, un citoyen haïtien qui n'a jamais été accusé dans le massacre de Jean-Rabel,
n'a jamais résidé dans la commune de Jean-Rabel,
n'a jamais travaillé dans la commune de Jean-Rabel,
ne possède aucun bien dans la commune de Jean-Rabel,
n'a jamais été mêlé dans un cas de meurtre, de trafic de drogue, ni de corruption.
Les medias haïtiens doivent inventer une procédure pour éviter la répétition de telle situation qui fait des victimes, cause des préjudices et des dommages souvent irréparables.
Car, même quand Stanley Lucas a un caractère ferme en défendant ses principes, sa vision, sa philosophie, son idéologie et/ou ses valeurs, cela ne fait pas de lui un criminel, ni une personnalité condamnée à être lynchée sur les ondes, au mépris de tous les principes de respect de la personne et de la dignité humaine.
Il est clair que si vraiment Stanley Lucas avait quelque chose à voir avec le Massacre de Jean-Rabel, le Président Jean-Bertrand Aristide et ses sbires Lavalas en auraient profité longtemps pour l'accuser, le juger, en vue de s'assurer que l'adversaire redoutable qu'il représente, soit édenté, émasculé, et au pire enterré. Or, nous savons que Stanley Lucas a résidé en Haïti jusqu'en 2000.
Pour l'information du public qui risque d'être intoxiqué par cette campagne de diffamation, nous précisons : Stanley Lucas est un homme intègre qui milite en faveur de la démocratie institutionnelle et l'Etat de droit. Il a défendu les droits de plus d'un, dont ceux de Valéry Numa (Journaliste de Radio Vision 2000) face aux intimidations du Ministre de la Justice Jean-Joseph Exhumé. Stanley Lucas est allé jusqu'à mettre sa vie en danger - à la fin des années 90s pour prévenir aider Daly Valet (journaliste de Radio Vision 2000) et l'aider à éviter les balles assassines d'un commando du Palais National qui avait reçu l'ordre de l'abattre de façon spectaculaire, à l'intérieur de Radio Vision 2000.
Les victimes de cette pratique non-professionnelle des medias haïtiens qui consiste à livrer leur antenne au premier venu qui, pour des raisons inavouables, cherche à assassiner le caractère d'autrui, sont nombreuses :
- Maitre Josué Pierre-Louis, a été accusé, sans preuve, de viol ;
- Le Président Michel Martelly, a été accusé, sans preuve, de détenir un passeport américain ;
- Claude Raymond jr, Directeur de l'Immigration, a été accusé, sans preuve, de fuir le pays avec 3 millions de dollars américains ;
- Cyrus Sibert, a été accusé sans preuve d'être à la base de l'attaque à gaz lacrymogène contre des lycéens au Cap-Haitien ;
 - La Première Dame Sophia Martelly a été accusée sans preuve de transférer les réserves en devises de la Banque Centrale d'Haïti, vers d'autres pays ;
- L'administration Martelly a été accusée, sans preuve, d'avoir inauguré une succursale de la Banque Centrale au Palais National ;
- Un correspondant de presse fit croire que les monuments de Vertières étaient peints en Rose et Blanc ;
Quelques exemples sur une multitude. Tous, des accusations facilement vérifiables, si le souci d'objectivité dominait l'esprit des journalistes professionnels d'Haïti.
Le pire, ces allégations mensongères sont amplifiées par des répétitions continues dans les éditions de nouvelles et sous forme de reportages, sur des prémisses fausses, mensongères et fabriquées dans l'unique objectif de détruire l'adversaire de l'heureux intervenant au Micro de Radio Vision 2000.
Un tableau qui ne fait pas l'honneur des medias, ni des journalistes qui offrent de piètres prestations dans un pays où la population fait confiance à ce qui se dit sur les ondes.
Nous demandons que le droit de réponse de Stanley Lucas soit respecté. L'accusation mensongère ayant été faite en direct, sur les ondes de « Radio Vision 2000 », dans la rubrique invité du jour, Stanley Lucas doit pouvoir réagir dans le même espace, avec les mêmes facilités de temps d'antenne, pour se défendre de ces langues de vipères qui cherchent à assassiner son image juste parce qu'ils ont peur de ses capacités.
Cyrus Sibert, Cap-Haitien, Haïti

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